La vente de billets individuels débutera le 7 mars à 15h00

Alors que l’intérêt grandit à l’approche de la huitième édition de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA™ qui aura lieu du 7 juin au 7 juillet, la FIFA et le Comité d’Organisation Local ont annoncé aujourd’hui que la vente de billets individuels au grand public débutera le jeudi 7 mars à 15h00 (CET) sur www.fifa.com/fifawwc/tickets.

 

Les billets de catégorie 4 pour tous les matches de groupes – à l’exception du match d’ouverture – seront disponibles à partir de 9 euros.

 

Pour le match d’ouverture, qui verra la France défier la République de Corée au Parc des Princes le vendredi 7 juin, les prix débuteront à 13 euros pour des billets de catégorie 4.

 

La Coupe du Monde Féminine 2019 se jouera dans neuf villes hôtes en France : Grenoble, Le Havre, Lyon, Montpellier, Nice, Paris, Reims, Rennes et Valenciennes.

Lyon accueillera les demi-finales (2-3 juillet) et la finale (7 juillet) – les prix des billets pour la finale oscillant entre 23 euros (catégorie 4) et 84 euros (catégorie 1).

 

Moins de quatre mois après le début de la vente des packs de billets, qui a été suivie par la phase de pré-vente exclusive réservée aux détenteurs d’une carte Visa, près de 330 000 billets ont déjà trouvé preneurs. Visa, le partenaire officiel de la FIFA pour les services de paiement, est la méthode de paiement privilégiée pour la vente de billets de la Coupe du Monde Féminine 2019.

 

Si les acheteurs sont en majorité français (57% des billets), les supporters des États-Unis (25%) et du Royaume-Uni (3%) se sont déjà emparé de nombreux tickets.

Les trois stades ayant vendu le plus de places sont Lyon (90 000), Paris (76 000) et Valenciennes (34 500).

 

Au total, 1,3 millions de billets sont disponibles pour l’événement phare du football féminin mondial et il est vivement recommandé aux supporters qui souhaitent participer à la fête d’acheter leurs places dès que possible.

 

La Coupe du Monde Féminine de la FIFA™ aura lieu du 7 juin au 7 juillet, et réunira 24 équipes qui disputeront 52 matches.

 

Pour de plus amples informations sur la billetterie, rendez-vous sur : www.fifa.com/fifawwc/tickets.

Cliquez ici pour consulter le calendrier des matches et toutes les autres informations sur la compétition.

Les futures arbitres d’Occitanie en formation

Article paru dans le magazine du mois de Janvier du 
LFO MAG, Le magazine mensuel de la Ligue de Football d’Occitanie

En cette année de Coupe du monde de football féminin en France, la Ligue de Football d’Occitanie a mis en place deux formations d’arbitres, en internat, exclusivement ouvertes aux filles qui veulent embrasser la carrière, sachant que la FFF met à la disposition des candidates des bons de formation qui couvrent intégralement le montant de la formation.

C’est dans ce cadre que le Centre Régional Technique de Castelmaurou a accueilli, du 11 janvier en soirée au 13 janvier, douze candidates âgées de 15 à 34 ans, venant de l’Ariège, la Haute-Garonne, le Lot et le Tarn.

Le module de formation est celui de la FFF, et ce sont Olivier Ledoux (CDTA 31) et Charlène Laur (arbitre fédérale) qui l’ont présenté et expliqué, partageant les journées en réunion en salle et mise en situation sur le terrain.

Le module de formation a ceci de particulier qu’il comporte de nombreuses vidéos de faits de jeu avec des fautes qui font l’objet de questions des formateurs aux candidates, enclenchant souvent des interrogations qui viennent enrichir les échanges et susciter des débats.

Sur le terrain par contre, c’est la gestuelle et le placement qui sont mis en avant.

A l’issue de ce stage, les candidates ont rejoint leurs districts d’origine pour débuter dans leur  fonction, en espérant que certaines d’entre elles confirment et accèdent au plus haut niveau.

Notons que la LFO a organisé la même formation dans le secteur Languedoc-Roussillon, à l’Espace Gard Découverte de Méjannes-le Clap, du 26 février au 1er mars, sous la direction de Nicolas Rainville, arbitre fédéral et CDTA du Gard.

Charlène Laur : «Une expérience positive et enrichissante»

Charlène, bonjour, vous avez été l’animatrice de la première formation initiale dédiée à l’arbitrage féminin, où vous étiez accompagnée d’Olivier Ledoux, Conseiller Départemental en Arbitrage du District de la Haute-Garonne, du 4 au 6 janvier 2019, sur les installations du CRT à Castelmaurou.

Ce stage était ouvert exclusivement aux filles, 12 candidates ont répondu présentes pour suivre cette formation, et nous voudrions savoir comment vous avez ressenti cette formation de l’autre côté de la barrière.

– Depuis combien de temps êtes-vous arbitre et pourquoi l’êtes-vous devenue ?

Je suis arbitre depuis environ 4 ans. La démarche pour devenir arbitre n’a pas été spontanée. J’ai accepté de faire la formation initiale après une demande faite auprès des joueuses par ma présidente de club dans lequel je jouais (FCCF) ; choix que je ne regrette pas, puisqu’il m’a permis de découvrir des qualités dans cette fonction d’arbitre, et l’arbitrage est devenu aujourd’hui une passion.

– Vous êtes arbitre Fédérale Féminine 2, c’est-àdire niveau national, officiez-vous tous les weekends et n’arbitrez-vous que des matches féminins ?

J’officie effectivement tous les week-ends. J’alterne généralement avec un match de national chez les féminines (D2), et un match chez les hommes au niveau régional en tant que centrale en R2 ou en tant qu’arbitre assistante en R1.

– Aujourd’hui, vous voilà formatrice. Est-ce occasionnel ? Comment vivez-vous cette nouvelle fonction ?
Ça reste pour l’instant occasionnel en effet, puisque j’ai occupé pour la première fois cette
fonction de formatrice lors de ce stage initial 100% féminin. C’est une fonction que j’ai beaucoup aimé occuper, et dans laquelle je me suis sentie très à l’aise. Ça a été l’occasion de rencontrer des jeunes filles motivées et curieuses, de faire partager mon expérience et ma passion, de transmettre des connaissances, et de continuer à apprendre sur moi-même et sur l’arbitrage. Je serai ravie d’encadrer un nouveau stage, qu’il soit féminin, masculin, ou mixte, si l’occasion se présente.

– Avez-vous été surprise du nombre de candidates ?

Oui, je ne m’attendais pas à tant de filles. Le football est un monde où les hommes sont bienplus nombreux que les femmes, et notamment dans l’arbitrage, bien que cela évolue positivement. J’ai donc été agréablement surprise que 12 filles aient eu cet attrait pour l’arbitrage, et j’ai été fière de la réalisation d’une formation 100% féminine.

– Pensez-vous qu’il peut y avoir un engouement pour les futures formations dédiées à l’arbitrage féminin ?

Je pense que cette première formation dédiée à l’arbitrage féminin peut en effet
donner envie à d’autres filles, joueuses et non joueuses, de se lancer dans l’arbitrage. Cela peut être permis d’une part par le partage des 12 stagiaires de cette expérience auprès de leurs amies et connaissances, d’autre part par la diffusion de cet événement sur différents sites et journaux. Je pense que la communication sera très importante pour présenter l’arbitrage féminin et créer un engouement pour les futurs formations dédiées à l’arbitrage féminin.

– Quelle pédagogie avez-vous utilisé pour expliquer les règles de jeu (diapo, terrain…)

Nous avons privilégié une pédagogie active, participative afin de favoriser la motivation et
l’apprentissage des filles. Pour cela, nous avons utilisé différents supports tels que des diapos avec beaucoup de contenus en image, ainsi que des vidéos pour observer et analyser certaines situations pouvant se présenter dans un match et découvrir les lois du jeu.

Aussi, nous avons proposé des « ateliers » par groupe où les filles devaient réfléchir ensemble à certaines lois et certaines décisions, réflexion que nous mettions en commun. C’était très interactif. Enfin, à côté des moments théoriques en salle, nous sommes allés sur le terrain où nous leur avons proposé des ateliers pratiques.

Ces derniers leur ont permis de s’initier au placement, au déplacement, et à la gestuelle d’un arbitre central, et de découvrir certaines actions qu’il doit appliquer durant un match (coup de sifflet, variation du coup de sifflet en fonction de la faute, intervention sur coup franc, placement d’un mur etc.). Mais aussi, de voir comment pouvait et devait s’échauffer un arbitre avant un match.

Enfin, ces moments pratiques leur ont donné l’occasion de découvrir et d’expérimenter la gestuelle de l’arbitre assistant, ainsi que de comprendre davantage la règle du hors-jeu. Ce fut une formation dense, où les filles ont pu découvrir et apprendre beaucoup de choses.

 Ce stage vous a-t-il permis de découvrir l’arbitrage sous un autre angle ?

Oui. Disons que j’ai eu l’occasion de découvrir l’arbitrage sous plusieurs angles ces 4 dernières années lors des matchs et lors des différents stages et tournois que j’ai pu effectuer. En effet, j’ai compris que l’arbitrage, ce n’était pas seulement 90 minutes sur le terrain, mais qu’il s’agissait aussi de rencontres, de moments de partage, de rire, et d’apprentissage, ainsi que de liens et d’amitiés créées.

Ce stage m’a permis de découvrir l’arbitrage sous un nouvel angle, puisque cette fonction de formatrice que j’ai eu la chance et le plaisir d’occuper m’a fait comprendre que c’était aussi transmettre ses expériences et ses connaissances, former, et donner envie aux autres d’entrer dans le monde de l’arbitrage. Ça a été une expérience positive et très enrichissante.

– Est-il plus facile d’arbitrer en féminines qu’en masculins ?

Il est difficile de répondre à cette question, tout dépend de ce qui est mis derrière le terme « facile ». Dans les deux cas, la fonction d’arbitre est une fonction complexe. Je préférerai dire que c’est différent. D’une part parce que j’officie à des niveaux différents chez les femmes (national) et chez les hommes (régional).

D’autre part parce-que le rapport humain est différent lorsque je suis face à des femmes, du fait que j’en suis une, et lorsque je suis face à des hommes. Toutefois, il est vrai que, généralement, le jeu est plus rapide et se déroule avec plus d’impact en termes d’intensité physique chez les hommes que chez les femmes, et les situations de contestation et de «tension» entre joueurs sont plus fréquentes chez les hommes que chez les femmes.

Texte et propos recueilli par Patrick Boudreault 

Retrouvez tous les numéros du LFO MAG à cette adresse: https://fr.calameo.com/accounts/4085515

Match Pôle Espoir Féminin de Blagnac – FC Montauban

 

Retour en images sur le match amical entre le Pôle Espoir de Blagnac et le Montauban Football Club Tarn et Garonne (D2) ce Jeudi 07 Février à Castelmaurou

Score final: 4-1 (L.Borde, M.Braunwart, S.Demarle et C. herbaut pour Montauban contre un but de Chaïma Badr Bassem pour le Pôle Espoir)

 

 

 

 


 

Le Pôle Espoir Féminin de Blagnac jouera un match amical ce Jeudi 07 Février au siège technique et administratif de la Ligue de Football d’Occitanie, à Castelmaurou, contre l’équipe du Montauban FCTG qui évolue en D2 Féminine !

 

  • 🕤📅 Match prévu à 19h30 à Castelmaurou

Adresse mail secrétariat LFO

Nous vous demandons de bien vouloir envoyer vos mails au secrétariat de la Ligue de Football d’Occitanie à l’adresse suivante : secretariat@occitanie.fff.fr

Les boîtes @languedoc-roussillon.fff.fr et @ligue-midi-pyrenees-foot.fff.fr ne sont plus en service.

Pour les arrêtés municipaux vous pouvez également les transmettre à l’adresse :
competitions@occitanie.fff.fr

Merci de votre compréhension.

Saint-Orens : les copains d’abord

Article paru dans la rubrique « LE CLUB DU MOIS » du mois de Janvier du 
LFO MAG, Le magazine mensuel de la Ligue de Football d’Occitanie

Saint-Orens : les copains d’abord

Ce ne sont pas les joueurs du FC Sète (National 2) qui vous diront le contraire: le millésime 2018-2019 du Saint-Orens Football Club (R2) ne s’apprivoise pas facilement, et, en cette mi-novembre, la qualification des Dauphins pour le 8e tour de la coupe de France tient alors du miracle, un but contre son camp dans les arrêts de jeu des prolongations, lors que le score était de 1-1 !

C’est le football. Passée la déception, les banlieusards toulousains ont retenu le positif. Sur le moment, un complexe Gustave-Plantade archi-plein, une belle ambiance, et l’invitation des Héraultais à venir les voir au tour suivant, quand ils éliminèrent Rodez (N1, 2-0). Mais surtout, surtout, la confirmation que l’équipe première avait de quoi bien figurer sur tous les terrains, cette saison.

LFO Mag est allé à la rencontre du président Jean-Guy Boaro, en poste depuis 1996 (!), et du créateur de l’école de football, André Leroy, au club depuis… 52 ans.

Président, votre club a disputé en novembre dernier et pour la première
fois de son histoire un 7e tour de la coupe de France, le premier tour
fédéral…

«Oui, effectivement. Nous étions arrivés au 6e tour en 2016-2017, battus par Balma, la même année où nous sommes allés jusqu’en quarts de finale de la coupe du Midi. Et la saison précédente, nous étions arrivés en demi-finale de cette même coupe du Midi.

Même si nous faisons tourner l’effectif en coupe du Midi, jouer un match de coupe est toujours mieux que de chercher des amicaux».

Etes-vous devenus une équipe de Coupe ?

«Jusqu’à il y a peu, non, pas vraiment, on se faisait toujours sortir au 1er, au 2e ou au 3e tour. Mais c’est vrai que depuis trois ou quatre ans, c’est mieux. Il y a longtemps que j’attendais ça, parce que c’est le bon moyen de sortir du train-train, les joueurs sont motivés, les spectateurs viennent voir».

– Quels sont vos objectifs cette saison ?

«Concernant les seniors, le maintien de l’équipe première en R2 et la montée de l’équipe réserve qui joue aujourd’hui en D3. Mais avant tout, nous voulons une super école de foot. Nos U17 sont montés cette saison en R2, l’apprentissage est difficile, et nos U19 sont premiers de leur poule de D2.

Il y a une très bonne entente entre les entraîneurs des équipes seniors et nous avons fait le ménage dans l’effectif, en écartant des joueurs qui n’étaient pas dans l’esprit du club. Nous n’avons gardé que onze ou douze joueurs de  l’équipe première, très peu recruté, et nous avons un super duo d’entraîneurs, Guillaume Balagué, qui vient des féminines du TFC, et Anthony Laffont, qui était auparavant sur l’équipe réserve. 

Depuis le début de la saison, nous n’avons concédé qu’une seule défaite en championnat, à Foix, trois occasions, trois buts, et une autre en coupe de France ».

– Si l’équipe première parvient à monter en R1, ce sera encore historique, non ?

«Oui, ce sera la première fois. André Leroy vous dira que nous avons terminé deux fois deuxièmes en PH, à une époque où la DHR n’existait pas, mais nous ne sommes jamais montés en DH.

Nous avons connu la DHR pour la première fois en 2007 et, depuis 2017, nous ne sommes plus redescendus. A ce niveau-là, on parle beaucoup d’argent, déjà, mais nous, nous n’en donnons pas.

A une époque, il était difficile de fidéliser les joueurs, surtout les jeunes, nous nous sommes d’ailleurs faits dépouiller par les gros clubs toulousains de deux générations de U13 à deux ans d’écart.

Aujourd’hui, on limite et on voit que ceux qui sont partis ont presque tous arrêté le foot,
parce qu’ils ne jouent pas, ailleurs.

Ici, ce qui fait fonctionner le club, c’est l’esprit de famille, les troisièmes mi-temps. On mange tous ensemble le soir après les matches, les joueurs sont ici pour se faire plaisir alors qu’ils paient, tous, leur licence. Si recrutement il y a, c’est d’abord la mentalité qui est examinée. On sélectionne, parce qu’on a vu et qu’on ne veut plus donner».

– Si vous n’avez pas d’argent, comment faites vous pour faire vivre ensemble plus de 500 licenciés ? 

«Pas de secret, le partenariat et la mairie. Celle-ci nous donne environ 20 % de notre budget qui est très petit, et le reste, on va le chercher».

– Vous êtes à la tête du club depuis quand ?

«Depuis 1996. Le club a connu deux grandes crises, en 1987 et en 1996. Cette année-là, on s’est retrouvés avec trois joueurs pour l’équipe première, et presque plus de dirigeants. On s’est retrouvés avec Paul Correia président tous les deux, pendant une saison, J’ai été joueur, entraîneur et président en même temps ! Et je suis toujours président, 22 ans après».

–  Où avez-vous joué en dehors de Saint-Orens ?

«Chez les jeunes, à Mondonville. Mais surtout à l’ASPTT Colomiers. J’étais gardien de but, à 17 ans, j’ai joué en équipe première avec un double surclassement. A 30 ans, on m’a fait comprendre que je n’avais plus le niveau, j’ai alors joué défenseur central et j’ai même été sélectionné dans l’équipe du district.

Mais comme je travaillais dans ma boucherie à Saint-Orens, je suis venu ici, à 34 ou 35 ans, comme entraîneur-joueur, on était en 1re série, on est montés en PH en trois ans, rien qu’avec des jeunes».

– Quelle est votre plus grande fierté, votre meilleur souvenir ?

«De voir le Saint Orens FC comme ça, à ce niveau-là, structuré, solide, là où il en est arrivé aujourd’hui. On a par exemple obtenu en 2017, le label Jeunes d’Excellence. C’est un club qui est passé de la dérive à la reconnaissance.

La locomotive, c’est l’équipe première. Mais, comme dit André Leroy, s’il n’y a pas de wagons, il n’y a pas de  voyageurs ! A Saint O, nous sommes tous des copains, pas toujours d’accord, mais d’abord des copains. Et ça… »  Recueilli par Patrick Boudreault

Un peu d’histoire

Le football est né à Saint-Orens de Gamevile en 1964, quand de jeunes adultes de la commune jouent des matches par ci, par là, avant de s’engager en championnat FSGT. L’équipe sera championne trois années consécutives, en 1967, 1968 et 1969, en jouant sur un pré de la rue Taparot, prêté par Marceau Dupin qui deviendra président et dont il ne reste que les chênes où les joueurs et spectateurs mettaient leurs voitures à l’ombre.

Le club s’affile alors à la FFF, au sein du district de Toulouse. La municipalité et son maire emblématique, Gustave Plantade, acquièrent le domaine où se situe le superbe complexe actuel. C’est le fameux « terrain en pente », qui a(vait) la même déclivité que l’actuelle rue des Sports !

En un septennat, de 1969 à 1976, l’équipe dirigée par François Escaig franchit tous les niveaux, jusqu’à la Promotion de Ligue, signant en 1975-76 un doublé départemental coupe-championnat. 

Après avoir atteint la Promotion d’Honneur, la Jeunesse Sportive de Saint-Orens, aux couleurs rouge et noir, affronte les montées et les descentes, mais se stabilise au niveau régional depuis 1992, sans aucune interruption.

La première équipe de jeunes, des cadets, date de 1971, et l’école de football est créée la saison suivante, par André Leroy et Jean Péral.

C’est en 2000 que le club prend son nom actuel, Saint-Orens FC, après la dissolution du club omnisports.

En 2007, le SOFC monte pour la première fois en DHR, l’actuel Régional 2, le plus haut niveau jamais atteint par le club. Au gré des descentes et remontées, il reviendra à ce niveau en 2013 et 2017.

Aujourd’hui, le Saint Orens Football Club est un des plus gros clubs du secteur Midi- Pyrénées, il compte 524 licenciés répartis en 24 équipes, des U7 aux vétérans, 41 dirigeants et 7 dirigeantes, et vient de relancer une section féminine qui avait disparu au début des années 90, mais qui a aujourd’hui deux équipes, en U11 et U13, et compte bien avoir des seniors dès la saison prochaine.

 Texte écrit par Patrick Boudreault

 

Retrouvez tous les numéros du LFO MAG à cette adresse: https://fr.calameo.com/accounts/4085515

CIDE 2019: Interview de V. Gauvin et M. Vrilliard

Ce mardi 05 Février a eu lieu, au restaurant 1938 du Stadium, le tirage au sort de la septième édition du Challenge International Des Etoiles (CIDE) qui aura lieu les 15 et 16 juin 2019 au Stadium de Toulouse.

 

La 7ème édition du Challenge International Des Etoiles (CIDE) rassemble cette année 32 équipes féminines soit quatre-cent-cinquante joueuses qui représenteront trente-deux nations (en cette année de Coupe Du Monde organisée en France, chaque équipe sera associée à une nation). Toutes les équipes porteront donc des maillots spécialement créés pour l’occasion, aux couleurs des nations qu’elles représenteront.

Retrouvez l’interview de Matthieu Vrilliard, président de l’association A TOUS FOOT – Challenge International des étoiles et Valérie Gauvin, marraine de l’événement, qui ont gentiment accepté de répondre a quelques questions à l’occasion de ce tirage au sort. 

Les équipes vainqueurs des éditions 2018 et 2017, celles du TFC et de l’AS St Etienne, seront présentes et seront accompagnées, pour la première fois, de 3 équipes étrangères, à savoir canadienne, allemande et andorrane.

 

En présence de la marraine de l’événement, Valérie Gauvin (joueuse internationale), José Da Silva (président de l’association TFC), Daniel Maillé (président de l’association Hôpital Sourire) et Samir Hajije (conseiller municipal délégué aux sports de la ville de Toulouse), le tirage au sort a rassemblé une grande partie des quarante-quatre partenaires de l’association A TOUS FOOT, mobilisés pour soutenir ce beau projet et permettre qu’il puisse se réaliser dans de bonnes conditions.

 

Succès pour le Programme Volontaires

 

PROGRAMME VOLONTAIRES :

13 093 CANDIDATS, 2 500 PROFILS RETENUS

Dans quatre mois, 2 500 Volontaires œuvreront au bon fonctionnement de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, France 2019™. Lancé le 28 mai dernier, le Programme a rencontré un très grand succès avec 13 093 candidatures enregistrées.

Les volontaires sélectionnés se verront confier l’une des 30 missions dans 12 secteurs tels que l’aide à la mise en place des évènements ou l’accueil du public. Seules conditions pour candidater : avoir 18 ans révolus au 1er mars 2019, être motivé(e) et disponible au minimum les jours de match ainsi que lors des journées de formation.

Les missions les plus demandées sont liées à l’appui sur l’organisation des matches, à l’accueil et orientation des spectateurs, à la remise des accréditations, à l’accompagnement des médias ainsi qu’aux services protocole. Conforme à la politique RSE portée par le Comité d’Organisation Local et la FIFA ainsi qu’à ses valeurs qui prônent la mixité, l’événement mobilisera 45% de femmes et 55% d’hommes provenant de 75 pays.

Incarné, entre autres, par Jean-Michel à Lyon, Julie à Reims et Zoé à Montpellier, premiers volontaires sélectionnés et plusieurs parrains et marraines dont l’ancienne footballeuse Sabrina Delannoy à Paris et le chef cuisinier Rachel Gesbert à Rennes, le Programme réunira des candidats de tout âge selon la répartition suivante :

  • 36,4% âgés de 18 à 25 ans
  • 32,30% de 26 à 40 ans
  • 19,80% de 41 à 60 ans
  • 11,50% de 61 ans et plus.

Le doyen des volontaires, âgé de 87 ans, habite Reims. La plus jeune, basée à Paris, a fêté ses 18 ans samedi dernier.

Pour rappel, la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, France 2019 se jouera du 7 juin au 7 juillet prochains dans neuf villes réparties à travers tout le territoire : Grenoble, Le Havre, Lyon, Paris, Montpellier, Nice, Reims, Rennes et Valenciennes.

Toutes les informations concernant le calendrier des matches et la billetterie sont à retrouver sur ce lien :  http://fifa.com/fifawwc/tickets

 

 

BMF – Retour sur le module CFF3 du 21 au 24 Janvier

Les stagiaires formés au BMF étaient réunis au siège Administratif et technique de la Ligue de Football d’Occitanie à Castelmaurou du lundi 21 au vendredi 24 Janvier dans le cadre de leur formation. 

Au programme de cette semaine, un module CFF3 permettant aux éducateurs de se sensibiliser à la mise en place d’entraînements adaptés des catégories U16 aux catégories Seniors.

ℹ📚 Cette semaine, les stagiaires formés au BMF sont au Centre Régional du Football – Castelmaurou pour 4 jours de formations !📸 Retour en images sur la séance pratique de ce Mardi 22 Janvier !

Posted by Ligue de Football d'Occitanie on Tuesday, January 22, 2019

3 stagiaires ont gentiment accepté de se livrer devant notre caméra sur cette semaine de stage ! Programme de la semaine, objectifs de la formation, ambiance et futurs projets sportifs, ils nous parlent plus en détaille de leurs ressentis et attentes en vidéo.

BMF – Interview Thibaut TROGANT

Cette semaine, les stagiaires sont réunis au Centre Régional du Football – Castelmaurou afin de passer leur CFF3. Retrouvez l'interview de Thibaut TROGANT, éducateur au Lauragais Football Club, qui nous parle en vidéo des objectifs de sa formation, de l'ambiance dans le groupe et du programme de leur semaine !

Posted by Ligue de Football d'Occitanie on Thursday, January 24, 2019

Ils ont notamment travaillé sur le terrain des aspects spécifiques comme les mises en situations pratiques avec des séances en jeux réduits, des préparations athlétiques, des exercices liant puissance et vivacité tout en justifiant leurs démarches pédagogiques et leurs interventions durant les exercices.

BMF – Interview Enzo Rizzoli

⚽🎓 Cette semaine, les stagiaires sont réunis au Centre Régional du Football – Castelmaurou afin de passer leur CFF3.📽🎙 Ambiance, objectifs, contraintes et projet sportif… Aujourd'hui c'est Enzo Rizzoli, éducateur adjoint U14/15 au Montpellier Hérault Sport Club, qui nous décrit, en vidéo, son ressenti sur sa formation au CFF3.

Posted by Ligue de Football d'Occitanie on Friday, January 25, 2019

Encadré par Bertrand DELAS, les stagiaires formés au BMF ont également abordés les aspect pédagogiques, les causeries d’avant match, le discours a adopté face aux joueurs et les problématiques liés à la vie du club.

BMF – Interview Florian SANTOS

BMF -⚽🎓 Cette semaine, les stagiaires étaient réunis au Centre Régional du Football – Castelmaurou afin de passer leur CFF3.📽🎙 Florian SANTOS, éducateur U15 à l' AS Muret Football, revient en détails sur sa semaine de formation, sur son expérience personnel et sur les connaissances et outils acquis lors de sa formation !

Posted by Ligue de Football d'Occitanie on Friday, January 25, 2019

 

Le prochain rendez-vous pour nos stagiaires formés au BMF est prévu le 18 au 21 Février 2019 sur les sites de Castelmaurou et Montpellier

 

Retour sur la réunion entre la DTN, la LFA et la LFO

Ce mardi 29 Janvier, la Ligue de Football d’Occitanie recevait la Direction Technique Nationale représentée par son directeur, Hubert FOURNIER, et Vincent NOLORGUES, vice-président délégué de la Ligue de Football Amateur dans le cadre de discussions et de signatures autour de deux conventions. 

Ce Mardi 29 Janvier, la majeure partie de l’Equipe Technique Régional s’est réunie autour d’Yvan DAVID, Directeur Technique Régional et de ses Cadres Techniques Régionaux, Marie KUBIAK, Gaëlle DUMAS et Bertrand DELAS. Cette réunion avait pour but de faire un bilan, structurer et développer au mieux la formation dispensée par l’ETR en marge de la signature de la convention ETR par la DTN.

La seconde réunion de la journée concernait la discussion et la signature de deux conventions à laquelle assistaient tous les présidents de districts, le Directeur Technique National, la LFA représentée par Vincent NOLORGUES, Sylvain GRIMAULT et Philip GUYOT DE CAILA, Jean-Claude COUAILLES, président de la LFO, et les membres de l’ETR

Dans un premier temps, Hubert FOURNIER a abordé la convention ETR et évoqué les objectifs qu’elle vise comme le développement de la pratique & de la formation, la valeur du PEF, la structuration des clubs et écoles de football ainsi que le développement du foot féminin par le biais de la Coupe du Monde Féminine 2019. 

Après une rapide présentation de l’ETR, son directeur, Yvan DAVID, a annoncé les 4 principaux axes de développement que l’ETR souhaite accentuer: « La promotion du sport pour le plus grand nombre », « le développement du sport de haut niveau », « la promotion des métiers du sport » et « la prévention par le sport et la protection des sportifs ».

Les discussions autour de la seconde convention, la convention d’objectifs avec la LFA (Ligue Football Amateur), ont alors pu commencer entre tous les présidents de districts et Vincent NOLORGUES. Cette longue discussion a permis aux districts d’évoquer leurs attentes et leurs difficultés auprès de la LFA avec notamment des sujets traités comme le FAFA, la formation dans les districts, la pratique du football diversifié, les dotations et leur répartition

Le point final de cette journée fut la présentation par Sylvain GRIMAULT et Vincent NOLORGUES de la Ligue de Football Amateur, de l’opération « Clubs 2e étoile » au nombreux clubs présents au Siège administratif et technique de la LFO à Castelmaurou. Cette opération vise plus de 13 000 clubs amateurs qui vont bénéficier d’aides directes pour la formation et l’acquisition de matériel sportif sur les deux prochaines saisons.   

 

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